C’est se foutre du monde, des chômeurs et des salariés !
Ils osent même parler d’urgence sociale avec cette loi travail dont l’objectif principal serait de combattre le chômage et non de faire encore baisser le prix du travail et casser une à une toutes les protections sociales.
Celles et ceux qui pensent qu’il faut préserver les acquis des salariés seraient des passéistes, des individus restés bloqués au 19e siècle, la vérité est que la volonté de Hollande, de Valls est de nous faire vivre comme au 19e siècle.
Avec leur loi, tout devient possible ; établir un plan social sans difficultés économiques ; baisser les salaires ; ne presque plus payer les heures supplémentaires ; faire travailler les apprentis mineurs 10 H par jour ; changer le temps de travail et allonger la durée du travail et des astreintes…
Nous n’acceptons pas qu’en notre nom cette casse sans précédent soit mise en œuvre, au contraire nous demandons le renforcement des droits des salariés, et des chômeurs.
Nous exigeons que les licencieurs soient les payeurs, pour cela il faut mettre en place une autre assiette de cotisations, car se baser sur la seule masse salariale comme c’est le cas aujourd’hui pénalise les patrons qui embauchent dans des conditions décentes (CDI) avec des salaires corrects et favorise ceux qui ont recours aux licenciements et à la précarité comme variable d’ajustement de leurs profits.
Il faut inclure dans les cotisations les profits, bénéfices et produits financiers des entreprises.
Parce que leurs crises, elles sont pour nous, le CAC 40 augmente encore en 2015 et 40 milliards d’euros de dividendes ont été distribués aux actionnaires, sans compter les bénéfices et profits.
Dernière question : qu’aura à faire la droite si elle revient au pouvoir ? Tous les mauvais coups contre les salariés auront été fait par cette « gauche », soi disant réaliste.
Philippe Villechalane,
Porte parole de l’Apeis
C’est se foutre du monde, des chômeurs et des salariés !
Ils osent même parler d’urgence sociale avec cette loi travail dont l’objectif principal serait de combattre le chômage et non de faire encore baisser le prix du travail et casser une à une toutes les protections sociales.
Celles et ceux qui pensent qu’il faut préserver les acquis des salariés seraient des passéistes, des individus restés bloqués au 19e siècle, la vérité est que la volonté de Hollande, de Valls est de nous faire vivre comme au 19e siècle.
Avec leur loi, tout devient possible ; établir un plan social sans difficultés économiques ; baisser les salaires ; ne presque plus payer les heures supplémentaires ; faire travailler les apprentis mineurs 10 H par jour ; changer le temps de travail et allonger la durée du travail et des astreintes…
Nous n’acceptons pas qu’en notre nom cette casse sans précédent soit mise en œuvre, au contraire nous demandons le renforcement des droits des salariés, et des chômeurs.
Nous exigeons que les licencieurs soient les payeurs, pour cela il faut mettre en place une autre assiette de cotisations, car se baser sur la seule masse salariale comme c’est le cas aujourd’hui pénalise les patrons qui embauchent dans des conditions décentes (CDI) avec des salaires corrects et favorise ceux qui ont recours aux licenciements et à la précarité comme variable d’ajustement de leurs profits.
Il faut inclure dans les cotisations les profits, bénéfices et produits financiers des entreprises.
Parce que leurs crises, elles sont pour nous, le CAC 40 augmente encore en 2015 et 40 milliards d’euros de dividendes ont été distribués aux actionnaires, sans compter les bénéfices et profits.
Dernière question : qu’aura à faire la droite si elle revient au pouvoir ? Tous les mauvais coups contre les salariés auront été fait par cette « gauche », soi disant réaliste.
Philippe Villechalane,
Porte parole de l’Apeis