Gabriel Attal et son maître à penser Emmanuel Macron tapent encore et encore sur les plus pauvres et les plus fragiles !
Ils sont à vomir… Bien évidemment pour les mesures qu'ils prennent mais aussi pour leurs arguments qui ne sont que des excuses qu'ils osent présenter comme des raisons.
Si vous voulez être certain que ce sont des mesures nocives, voyez les réactions des organisations patronales qui s'en félicitent… Parce que oui ! La lutte des classes existe.
C'est la cinquième réforme de l'assurance chômage depuis 2017, et c'est la plus violente !
Avant, pour ouvrir des droits à indemnisation, il fallait travailler 4 mois dans les 28 derniers mois, soit 1 jour sur 7. Puis ils ont décidé que ce serait 6 mois dans les 24 derniers mois, soit 1 jour sur 4. Et maintenant c'est 8 mois dans les 20 derniers mois, soit 1 jour sur 2,5.
Autant dire que c'est pari impossible tant l'emploi est précaire, morcelé, inadapté aux formations et aux compétences des demandeurs d'emploi.
Si nous ne les empêchons pas, ils ne s’arrêteront que quand leurs seigneurs de la grande bourgeoisie seront satisfaits… Et ils ne le seront que quand tous les droits des salariés seront abolis et que nous devrons retourner en place de grève pour nous faire embaucher contre un quignon de pain en veillant à bien dire merci.
En trois ans (2021, 2022 et 2023), les 42 milliardaires français se sont enrichis de plus de 200 milliards et les dividendes versées aux actionnaires ont encore battu tous les records !
Les tenants du pouvoir ne cessent de mentir sur « leur » baisse du chômage et sur « leur » route du « plein emploi » dont ils se gargarisent. Ils osent tout, même le pire. Selon eux, tout s'arrange, alors que la réalité montre que ça s'effondre pour le plus grand nombre, dans tous les secteurs, et que les difficultés sont grandissantes et multiples.
Depuis que les données mensuelles du chômage ne sont plus publiées, ils ont changé les règles de calcul. Ainsi, ils peuvent raconter ce qu'ils veulent et lorsqu’on vérifie, on se rend compte qu'il reste 6,2 millions de chômeurs pour les 5 catégories et que, malgré leurs magouilles et leurs tripatouillages, les chiffres remontent. Or ils ont cassé la plupart des filets de protections sociales et la solidarité.
Ces mesures qui ne cessent de réduire tous les aspects des droits des chômeurs font partie d'un projet de casse systématique du maximum de conquis sociaux pour faire en sorte que les milliardaires soient de plus en plus riches, jusqu'au dégoût, et les dividendes versées aux actionnaires hors limite jusqu'à l'écoeurement.
Le tout est accompagné de l'augmentation des radiations administratives, passant de 175 600 en 2018 à 216 400 en 2023, et de la prochaine obligation de travailler au minimum 15h par semaine pour toucher le RSA.
Dans le même mouvement, les possédants ont encouragés le passage au statut d’auto-entrepreneur… Ceux-ci sont aujourd'hui plus de 3 millions et perçoivent en moyenne 590 € par mois.
Les comptes de l'assurance chômage sont en positif, non pas grâce aux retours à l'emploi comme ils ne cessent de le marteler mais bien parce qu’ils ont diminué les droits en durcissant l’accès, baissé la durée et les montants de l'indemnisation et radié des centaines de milliers de chômeurs pour des raisons fallacieuses.
Voilà, leur boucle est bouclée : piquer par milliards l'argent de celles et ceux qui en ont le plus besoin pour le donner à ceux qui n'en ont jamais assez et permettre de faire travailler dans n'importe quel emploi, dans n'importe quelles conditions et à n'importe quel salaire.
Sans compter les découragés qui ne se retrouvent plus nulle part, car un nombre considérable de femmes et d'hommes ne réclament même pas les droits auxquels ils peuvent prétendre, ce qui représente environ 10 milliards d'euros par an… Mais ça, vous n'en entendez pas parler.
En réalité, jamais il ne connaitra les angoisses du chômage notre premier ministre, tant il a permis aux puissants de s'enrichir en exploitant, en cassant et en privatisant les services publics. Son mandat terminé, ils lui fileront un bon boulot même s'il n'a pas les compétences.
Les attaques contre les chômeurs et les précaires qui sont ceux qui ont le moins de moyens de défense sont en réalité des attaques contre tous les travailleurs et l'ensemble du monde du travail.
« Vous voulez les misérables secourus, moi je veux la misère abolie » - Victor Hugo
Gabriel Attal et son maître à penser Emmanuel Macron tapent encore et encore sur les plus pauvres et les plus fragiles !
Ils sont à vomir… Bien évidemment pour les mesures qu'ils prennent mais aussi pour leurs arguments qui ne sont que des excuses qu'ils osent présenter comme des raisons.
Si vous voulez être certain que ce sont des mesures nocives, voyez les réactions des organisations patronales qui s'en félicitent… Parce que oui ! La lutte des classes existe.
C'est la cinquième réforme de l'assurance chômage depuis 2017, et c'est la plus violente !
Avant, pour ouvrir des droits à indemnisation, il fallait travailler 4 mois dans les 28 derniers mois, soit 1 jour sur 7. Puis ils ont décidé que ce serait 6 mois dans les 24 derniers mois, soit 1 jour sur 4. Et maintenant c'est 8 mois dans les 20 derniers mois, soit 1 jour sur 2,5.
Autant dire que c'est pari impossible tant l'emploi est précaire, morcelé, inadapté aux formations et aux compétences des demandeurs d'emploi.
Si nous ne les empêchons pas, ils ne s’arrêteront que quand leurs seigneurs de la grande bourgeoisie seront satisfaits… Et ils ne le seront que quand tous les droits des salariés seront abolis et que nous devrons retourner en place de grève pour nous faire embaucher contre un quignon de pain en veillant à bien dire merci.
En trois ans (2021, 2022 et 2023), les 42 milliardaires français se sont enrichis de plus de 200 milliards et les dividendes versées aux actionnaires ont encore battu tous les records !
Les tenants du pouvoir ne cessent de mentir sur « leur » baisse du chômage et sur « leur » route du « plein emploi » dont ils se gargarisent. Ils osent tout, même le pire. Selon eux, tout s'arrange, alors que la réalité montre que ça s'effondre pour le plus grand nombre, dans tous les secteurs, et que les difficultés sont grandissantes et multiples.
Depuis que les données mensuelles du chômage ne sont plus publiées, ils ont changé les règles de calcul. Ainsi, ils peuvent raconter ce qu'ils veulent et lorsqu’on vérifie, on se rend compte qu'il reste 6,2 millions de chômeurs pour les 5 catégories et que, malgré leurs magouilles et leurs tripatouillages, les chiffres remontent. Or ils ont cassé la plupart des filets de protections sociales et la solidarité.
Ces mesures qui ne cessent de réduire tous les aspects des droits des chômeurs font partie d'un projet de casse systématique du maximum de conquis sociaux pour faire en sorte que les milliardaires soient de plus en plus riches, jusqu'au dégoût, et les dividendes versées aux actionnaires hors limite jusqu'à l'écoeurement.
Le tout est accompagné de l'augmentation des radiations administratives, passant de 175 600 en 2018 à 216 400 en 2023, et de la prochaine obligation de travailler au minimum 15h par semaine pour toucher le RSA.
Dans le même mouvement, les possédants ont encouragés le passage au statut d’auto-entrepreneur… Ceux-ci sont aujourd'hui plus de 3 millions et perçoivent en moyenne 590 € par mois.
Les comptes de l'assurance chômage sont en positif, non pas grâce aux retours à l'emploi comme ils ne cessent de le marteler mais bien parce qu’ils ont diminué les droits en durcissant l’accès, baissé la durée et les montants de l'indemnisation et radié des centaines de milliers de chômeurs pour des raisons fallacieuses.
Voilà, leur boucle est bouclée : piquer par milliards l'argent de celles et ceux qui en ont le plus besoin pour le donner à ceux qui n'en ont jamais assez et permettre de faire travailler dans n'importe quel emploi, dans n'importe quelles conditions et à n'importe quel salaire.
Sans compter les découragés qui ne se retrouvent plus nulle part, car un nombre considérable de femmes et d'hommes ne réclament même pas les droits auxquels ils peuvent prétendre, ce qui représente environ 10 milliards d'euros par an… Mais ça, vous n'en entendez pas parler.
En réalité, jamais il ne connaitra les angoisses du chômage notre premier ministre, tant il a permis aux puissants de s'enrichir en exploitant, en cassant et en privatisant les services publics. Son mandat terminé, ils lui fileront un bon boulot même s'il n'a pas les compétences.
Les attaques contre les chômeurs et les précaires qui sont ceux qui ont le moins de moyens de défense sont en réalité des attaques contre tous les travailleurs et l'ensemble du monde du travail.
« Vous voulez les misérables secourus, moi je veux la misère abolie » - Victor Hugo