Preuve supplémentaire elle vient d’être retoquée par le conseil constitutionnel !
Il faut aller plus loin et rejeter également le premier volet de cette convention qui rogne des droits et va ainsi pousser de plus en plus de femmes, d’hommes, de familles vers la pauvreté et la misère.
A cette occasion nous exigeons l’arrêt pur et simple de tout contrôle et de toute radiation aussi bien à Pôle emploi que dans les CAF, ainsi que la fin des trop-perçus.
Nos revendications contre le recul constant des droits des chômeurs et précaires se trouvent encore renforcées en cette période trouble et anxiogène. Nous réclamons donc, avec force, l’interdiction de toutes mesures d’expulsions des logements, des saisies, ou encore des coupures d’accès aux énergies indispensables à la vie courante et de la téléphonie. Déjà depuis le début de cette crise sanitaire et sociale, plus d’un million de femmes, d’hommes et d’enfants ont basculés sous le seuil de pauvreté, sans compter ceux qui se retrouvent sur le fil du rasoir de la précarité.
Noël est là avec son lot d’angoisses et d’inégalités. De plus en plus de femmes, d’hommes, de familles sont confrontées à des urgences multiples tout au long de l’année et cela devient encore plus oppressant en des périodes comme noël car on sait déjà qu’on ne pourra faire face. Impossible de faire plaisir aux enfants avec ce qu’ils voudraient vraiment, pas question de faire un déplacement afin de se retrouver entouré des siens, pas les moyens de rompre la monotonie de la précarité autour d’un gueuleton. Nous réclamons donc une allocation exceptionnelle (dite prime de noël) de 500 euros pour tous les chômeurs et les précaires.
Nous profitons de ce communiqué pour demander une année blanche pour tous les chômeurs
Nous exigeons :
· Un emploi correctement rémunéré
· Une indemnisation de toutes les formes de chômage et de précarité
· Un véritable politique de formation choisie par les chômeurs
Villejuif le 27 novembre 2020
Villechalane Philippe, Porte parole de l’Apeis
Preuve supplémentaire elle vient d’être retoquée par le conseil constitutionnel !
Il faut aller plus loin et rejeter également le premier volet de cette convention qui rogne des droits et va ainsi pousser de plus en plus de femmes, d’hommes, de familles vers la pauvreté et la misère.
A cette occasion nous exigeons l’arrêt pur et simple de tout contrôle et de toute radiation aussi bien à Pôle emploi que dans les CAF, ainsi que la fin des trop-perçus.
Nos revendications contre le recul constant des droits des chômeurs et précaires se trouvent encore renforcées en cette période trouble et anxiogène. Nous réclamons donc, avec force, l’interdiction de toutes mesures d’expulsions des logements, des saisies, ou encore des coupures d’accès aux énergies indispensables à la vie courante et de la téléphonie. Déjà depuis le début de cette crise sanitaire et sociale, plus d’un million de femmes, d’hommes et d’enfants ont basculés sous le seuil de pauvreté, sans compter ceux qui se retrouvent sur le fil du rasoir de la précarité.
Noël est là avec son lot d’angoisses et d’inégalités. De plus en plus de femmes, d’hommes, de familles sont confrontées à des urgences multiples tout au long de l’année et cela devient encore plus oppressant en des périodes comme noël car on sait déjà qu’on ne pourra faire face. Impossible de faire plaisir aux enfants avec ce qu’ils voudraient vraiment, pas question de faire un déplacement afin de se retrouver entouré des siens, pas les moyens de rompre la monotonie de la précarité autour d’un gueuleton. Nous réclamons donc une allocation exceptionnelle (dite prime de noël) de 500 euros pour tous les chômeurs et les précaires.
Nous profitons de ce communiqué pour demander une année blanche pour tous les chômeurs
Nous exigeons :
· Un emploi correctement rémunéré
· Une indemnisation de toutes les formes de chômage et de précarité
· Un véritable politique de formation choisie par les chômeurs
Villejuif le 27 novembre 2020
Villechalane Philippe, Porte parole de l’Apeis