Certains, n’ayant aucun moyen se trouvent contraints d’utiliser les transports en commun pour se rendre aux entretiens et divers rendez-vous sans titre de transports et se voient infliger des P.V., d’autres, dans les zones rurales ayant peu ou pas du tout de transports sont contraints d’utiliser une petite voiture ou une mobylette pour se déplacer les obligeant ainsi à payer l’essence, l’assurance…
En janvier 1998, a eu lieu l’accord sur les chèques « mobilité » dans la région parisienne, qui n’est pas du tout adaptée aux besoins des chômeurs. Les anomalies de gestion de ce dispositif et la discrimination entre un chômeur et un autre privent bon nombre des bénéficiaires de ces chèques « mobilité ».
Ainsi, les moyens mis à la disposition des demandeurs d’emploi dans ce domaine, sont variés et inégaux d’un département à un autre, d’une ville à l’autre ; exemple, dans le Finistère, la Creuse et la région Midi-Pyrénées existent des tarifs réduits voir même la gratuité pour les chômeurs.
La gratuité des transports est une nécessité pour se déplacer, rechercher un emploi, effectuer des démarches mais aussi pour entretenir des liens sociaux, familiaux et culturels. Pour cela, il faut voter une loi cadre qui permettrait d’instituer le droit de libre circulation des citoyens et gommerait les inégalités entre villes, départements et régions.
Certains, n’ayant aucun moyen se trouvent contraints d’utiliser les transports en commun pour se rendre aux entretiens et divers rendez-vous sans titre de transports et se voient infliger des P.V., d’autres, dans les zones rurales ayant peu ou pas du tout de transports sont contraints d’utiliser une petite voiture ou une mobylette pour se déplacer les obligeant ainsi à payer l’essence, l’assurance…
En janvier 1998, a eu lieu l’accord sur les chèques « mobilité » dans la région parisienne, qui n’est pas du tout adaptée aux besoins des chômeurs. Les anomalies de gestion de ce dispositif et la discrimination entre un chômeur et un autre privent bon nombre des bénéficiaires de ces chèques « mobilité ».
Ainsi, les moyens mis à la disposition des demandeurs d’emploi dans ce domaine, sont variés et inégaux d’un département à un autre, d’une ville à l’autre ; exemple, dans le Finistère, la Creuse et la région Midi-Pyrénées existent des tarifs réduits voir même la gratuité pour les chômeurs.
La gratuité des transports est une nécessité pour se déplacer, rechercher un emploi, effectuer des démarches mais aussi pour entretenir des liens sociaux, familiaux et culturels. Pour cela, il faut voter une loi cadre qui permettrait d’instituer le droit de libre circulation des citoyens et gommerait les inégalités entre villes, départements et régions.